Il est un fait avéré : la plus part des pratiques sexuelles faisant le plus fantasmer nos chers hommes sont celles que l'on déteste le plus, voir celles que l'on craint le plus.
Ils rêvent de sodomie et de fellation quand nous on dit "beurk" tout simplement...alors là on parait coincée voir frigide et c'est le drame. Il y a comme un désaccord qui met en évidence un gros dilemme, subir et faire plaisir ? ou rester sur ses convictions, ne pas céder et fruste ?
Comment faire alors, si ce n'est trouver des alternatives via des positions plus attrayantes peut être, et varier les plaisirs par de multiples accessoires ?
Ma foi, je ne sais pas si c'est la solution la plus efficace, cela ne changera pas le problème, non la sodomie ne nous excite en rien, "au pire jte présente mon copain gay jean paul peut être qu'il acceptera de se faire trifouiller l'anus","oui je veux bien t'accorder une ptite gaterie de temps en temps mais veille à ne pas éclabousser mon visage...on fait mieux comme masque"
Je me dis parfois, que peut être on est trop fermée, encore trop sur des idées reçues, trop de principes...certaines femmes, et qu'elles en soient contentes, trouvent leur plaisir dans ces plaisirs purement masculins...d'où nous viennent alors ces blocages ?
ben je pense qu'au final il n'y a pas à chercher midi à quatorze heures : 1) une absence totale de glamour, 2) une impression d'être rabaissée au rang d'objet sexuel, 3) un plaisir non partagé.
Je continue ?
Mais voilà, comme je l'ai dit l'inconvénient c'est que nos loulous du coup ben sont privés...d'un autre coté, prenons le cas du traditionnel plan à 3. en lisant la presse féminine ces derniers temps et même depuis un moment, je vois de plus en plus que des femmes arrivent à y trouver leur plaisir, alors que nous on ne voit qu'en cette 3eme personne "la traîtresse qui à la fin risque de nous piquer notre mec". alors que notre mec lui, si ca se trouve s'en tapera totalement de cette 3eme personne et le fait de nous voir en compagnie d'une autre fille le fera encore fantasmer mais à notre sujet. nous sommes donc encore une fois prise dans un gros dilemme.
Faut il pour faire plaisir à l'autre faire abstraction de certains de ses propres principes ?
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